Vidéos de la Place des Affaires 2011

Les vidéos des intervenants ainsi que des interviews réalisés par la Fondetec lors de la 7ème Place des Affaires et de la Franchise qui s'est déroulée du 1er au 4 février 2011 à GENEVA PALEXPO sont disponibles sur le site Internet de la Fondetec.

Ci-dessous, les vidéos (en 3 parties) de l'interview de Madame Antonietta Frangi, Présidente de la FAC :

NODE Admin
Pétition contre la fermeture de rues aux Eaux-Vives

Dans le cadre de la défense de nos membres et pour garantir des conditions cadres favorables au développement de vos entreprises, nous aimerions que vous nous rejoigniez dans nos efforts de collecte de signatures en faveur de la pétition défendant l’accessibilité du quartier des Eaux-Vives, lancée par l’Association des Intérêts des Eaux-Vives.

Pour télécharger cette pétition, cliquez ici.

Les listes, même incomplètes, devrons être retournées d’ici au 8 avril 2011 à l’AIEV – Case postale 6232 – 1211 Genève 6.

Nous vous remercions par avance pour votre engagement.

NODE Admin
Elections municipales du 13 mars 2011

La FAC soutient activement la réélection de Madame Patricia Richard à l'élection du Conseil municipal de la Ville de Genève le 13 mars prochain.

Madame Patricia Richard, membre de la FAC, exploite avec son mari depuis 1996 une boulangerie pâtisserie tea-room en Ville de Genève.

Grâce à vos votes, elle siège au Conseil municipal de la Ville de Genève depuis 2007.

A lire : le courrier de notre Présidente, Madame Antonietta Frangi, adressé à tous les membres de la FAC.

Nous vous informons qu'un autre membre de la FAC est également candidat à l'élection du Conseil municipal de la Ville de Genève, il s'agit de Monsieur Daniel Sormanni, fleuriste.

NODE Admin
Face-à-face avec UNIA dans la Tribune de Genève

La Tribune de Genève a organisé ce jour un face-à-face faisant intervenir un membre des syndicats et un représentant patronal dans le cadre du renouvellement de la Convention collective cadre dans le commerce de détail à Genève. Voici notre intervention :

"Il faut être deux pour négocier

Il faut être deux pour négocier. Avec la volonté d’avancer pour aboutir à un compromis acceptable. Genève détient la palme suisse des compromis mis en place entre partenaires sociaux. Et cela depuis des décennies. Ce canton a toujours fait preuve d’imagination et d’écoute pour créer des solutions novatrices et uniques en Suisse.

En 2002, le partenariat a permis de concevoir une convention pour le commerce de détail en tenant compte des désirs syndicaux et patronaux. Dans un domaine aussi concurrentiel que la vente de biens à la consommation, l’adaptation de tous types de magasins aux réalités économiques et à la demande des clients est une nécessité fondamentale pour survivre et assumer pleinement son rôle d’employeur. L’évolution de certaines heures d’ouverture, à la hausse comme à la baisse selon le jour, ne doit pas occulter le fait qu’une entreprise satisfaite de son personnel fera tout ce qui est en son pouvoir pour le conserver.

Les syndicats reprochent au patronat de ne pas avoir entamé les négociations en ce début d’année et surenchérissent qu’ils n’ont pas de concessions à faire. Quand on revendique une position si arrêtée, quelle raison reste-t-il pour se réunir autour d’une table? Je rappelle que pendant le premier semestre 2010, des négociations ont eu lieu, d’importantes avancées pour le personnel de vente ont été trouvées (notamment éviter le fractionnement du travail pendant la même journée), sans parler de la mise en place d’inspecteurs pour renforcer l’application de la CCT. Mais cet accord réalisé par la commission de négociation a été balayé lors de l’assemblée générale des membres de syndicats de la branche. Tout aussi incompréhensible, cette volonté syndicale de reconduire pour une période de six mois la CCT actuelle et par là même de s’épargner le temps nécessaire à esquisser des solutions non dogmatiques.

Il faut savoir que la CCT actuelle ne s’applique qu’aux entreprises dont le nombre d’employés est égal ou supérieur à trois; il y a donc beaucoup d’entreprises qui n’y sont pas soumises. C’est le nombre de signataires qui définit ce quota. Si nous n’arrivons pas à ce jour à soumettre l’ensemble du personnel, c’est bien à cause des syndicats qui se mettent à dos des sociétés déjà soumises à des conventions d’entreprise ou de branche qu’elles respectent. A cela s’ajoute que les syndicats, lors des négociations, ne cherchent pas de consensus qui permettrait d’obtenir plus d’entreprises signataires.

La recherche de conflits des syndicats a pour unique but de faire adhérer plus de membres; c’est sûrement à ce jour le seul point commun avec les commerces : générer du chiffre d’affaires pour payer son personnel…

Yves Menoud - Directeur de la FAC"

Retrouvez l'intégralité de l'article ici.

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